Le regard des équipiers

Albin à Panama

– février 2021

Yara, «Véronica» et «Dénisse», même dans un pays à la Corto Maltese et celui du sinistre dictateur Noriega, vous font oublier la vie commune des terriens. Pendant 27 jours je me suis senti très loin de notre époque insane, des turpitudes politiques, des morosités virales multi-médiatiques et de la distanciation sociale, grâce à leur amitié et leur générosité… 

Des îles de carte postale….

le soleil, des cocotiers, des langoustes, des crabes, des poissons à la braise d’une île déserte et des rencontres, sous prétexte de passer le Canal de Panama !

Bon, moi j’y allais pour passer, en bonne compagnie, quelques écluses entre l’Atlantique et le Pacifique comme celles du canal de l’Ourcq ou du canal de Bourgogne… Eh bien, c’est pas ça du tout !

Panama c’est un pays où on parle espagnol, il y fait chaud, où il y a un canal et un confinement total samedi et dimanche, le couvre feux de 21 h à 4 h du matin, des jours de sortie pour les femmes et d’autres pour les hommes, plus un pour les deux, avec un masque chirurgical plus un masque décoratif sur le nez, la prise de température systématique (36,4 °) et la crotte de gel hydroalcoolique à l’entrée des magasins… Et il y a Denis et Véro, son argile verte et sa potion magique pour ma petite déchirure musculaire du mollet.

En attendant la date du passage du canal, donné par une certaine Susy, direction les San Blas, contre les alizés avec pêche d’un petit requin… Visite d’îles en îles pendant 10 jours chez les Gunas (grosse polémique : prononcez Kuna en écrivant Gunas…) des cayos (îles de corail et non volcanique, 120 cm maxi au dessus de l’eau et très souvent moins…) Une des ethnies autochtones de Panama,qui vivent plus ou moins en autonomie «grâce» à la faiblesse de la répartition des richesses du pays (les travailleurs du canal sont les privilégiés) et un réseau routier très chaotique. 

Ils nous ont accueillis de manière très sympathique, d’autant plus que le touriste s’est fait assez rare en ces temps de pandémie et la région est interdite par la route. 

Curieux Gunas des îles, qui semblent vivre de rien, n’être propriétaire que de leur pirogue même pas de l’île où ils habitent des cabanes en bambous accrochés par des ficelles, sans eau potable (qu’il faut aller chercher à terre avec des bidons, en pirogue) mais qui décident collectivement pour toute la région, tous les ans, du prix de vente de la noix de coco (qu’on a en principe pas le droit de ramasser) dont des milliers de tonnes sont vendues en Colombie parce qu’il n’y a pas d’industrie de transformation de la noix de coco au Panama.

Visites le matin ou l’après midi de pirogues remplies de crabes et/ou de langoustes et poissons (nous avons eu droit à une cigale de mer !) et, à la commande, des petits pains de farine de noix de coco tout chaud apportés par les dames. 

Un autre activité féminine, c’est la confection des «molas» : de la haute couture de découpes de tissus avec des dessins stylisés d’animaux et des plantes du coin. Avec des points d’ un demi millimètre pour faire des ourlets et de la broderie au couleurs chatoyantes en superposition de 2,3,4 couches de tissus… Points de croix, points de riz, etc, millimétriques….Très difficile de résister ! 

C’est aussi un symbole vestimentaire de résistance face aux «colonisateurs» panaméens.

Là,  je sens que je vais dépasser les limites d’écriture du «regard d’un équipier», donc…

 Le Canal :
Surprise, il n’est pas Est-Ouest comme l’Atlantique et le Pacifique mais quasi Nord- Sud ! Ça trouble, on ne sait plus d’où viennent les alizés !
Et ce n’est pas du tout le canal du Midi ni celui de Venise : 77 km de long, 6 écluses avec 30 m de dénivelé, alimenté au centre par un lac artificiel le 2ème plus grand du monde. C’est du grand spectacle, c’est pharaonique !
Comme ceux qui y passent avec leurs 4 000 ou maintenant 12 000 containers chacun, 300 m de long et 40 de hauteur…malgré les crocodiles du canal et les singes hurleurs ! 

A couple avec le Pourquoi Pas d’Amandine, Aélis et Jean Philippe nous avons passés un canal historique de la mondialisation, sous la proue d’un de ces monstres.
Avec l’aide des «handliner» (chargés de récupérer les amarres lancées de 10 m de h et de régler descentes et remontées dans les écluses) et des pilotes du canal, tout c’est bien passé.
A l’ouverture de la dernière écluse… Paf ! C’est le Pacifique….. et beaucoup d’émotion pour tous !
Mais gare ! Ça pousse derrière, jusqu’au Pont des Amériques !
Il n’y a que trois ponts, seulement, au Panama, pour relier les deux continents !

A gauche l’Amérique du Sud et à droite l’Amérique du Nord… En arrière, l’Atlantique et en avant le Pacifique…Rien à voir avec la politique : ça dépend d’où on vient et où on va, dans l’autre sens c’est l’inverse !
Pour l’instant direction Panama City, paradis fiscal et pour tout trafic qui alimentent les banques nationales et internationales postées-là dans des buildings quasi vides malgré les constructions qui continuent encore…

C’est là que Yara et Pourquoi Pas sont au mouillage en attendant Suzy et ses embrouilles, les papiers d’entrée et de sortie (ben, oui, quoi ! On entre par l’Atlantique et on sort par le Pacifique donc 2 papiers…) et le  permis de naviguer dans le Pacifique, je crois…

Et avant la grande traversée, pour faire l’avitaillement !

Pour ça, nous aurons l’aide et la grande disponibilité de Jacques, le mari de Monique, expatriés au  Panama, une vieille copine de Marie F du cercle de lecture de Véro ! Le monde est devenu petit, on le voit avec la pandémie ! 

Il met sa voiture et sa conduite experte de la ville (il en faut de l’expertise dans ce pays à la conduite sauvage !) pour nous faire visiter la vieille ville et des magasins, son espagnol fluently et son coffre de voiture à notre disposition pour tout faire ! Très sympathiques et décontractés, ils nous invitent à un apéro dînatoire avec saucisson à l’ail chez eux à Las Cumbres, banlieue nord de la ville puis à un repas avant le couvre feux de 21 h.

Bien sur, moi, je fais une offrande au pays, le dernier jour, en perdant mes lunettes de vue toutes neuves au ponton malgré les plongeons de Denis dans 5 m de vase !

Comme je dois partir dimanche après midi, jour de confinement total….et bien, comble de l’obligeance, je n’ai qu’à venir dormir chez Monique et Claude vendredi soir jusqu’à dimanche ! J’ai eu droit au croissant et à la chocolatine le matin, avec quenelles sauce langouste à midi ! Et c’est leur fils, Sébastien, qui m’emmènera à l’aéroport (30 km quand même!) puisqu’il peut circuler professionnellement ! 

Un très grand merci à eux ! Un très grand merci à Yara qui va poursuivre jusqu’au bout du monde…
Elle est pas belle la vie ?

Albin


Les séniors en croisière

YARA sévère concurrent des célèbres bateaux de croisière COSTA .

Au cours de notre périple Guadeloupe Martinique  nous  avons bénéficié de tout ce que l on peut offrir à des séniors en  croisière :

  • Visites à terre utilisant divers moyens de déplacement : voiture et scooter  et même marche.
  • Séances de jeux de société avec un animateur de haut niveau.
  • Repas gastronomiques mijotés par l’équipage.
  • Mouillages au milieu des tortues et des poissons multicolores.
  • Et, le top surtout, l’épisode de voile musclée dans les canaux entre les iles.

Bref, après « l’aventure dans les palétuviers » nous avons expérimenté « la croisière s’amuse » .

Vraiment Véro et Denis c’est un accueil et une organisation qui méritent         les ***** .

Certains disent que YARA  est un petit paradis sur l’eau.

C’est pas faux !


Val et Jeff des Bahamas

Quel bonheur ces deux semaines aux Bahamas! Le bonheur d’abord de retrouver Denis et Véro, chers amis de toujours ou presque. Sans faux-semblant, juste cette sensation privilégiée d’une complicité authentique et si précieuse que les années ont préservée et teintée d’affection, juste aussi le privilège de bénéficier de leur attitude bienveillante que vous connaissez tous. Le bonheur ensuite de les retrouver sur Yara et de partager humblement leur merveilleuse aventure. Deux semaines passées au gré des vents … et de quelques grains bien maîtrisés, cadencées par lesfeet, les knots, les anchorages et lesmoorings. Nos dernières émotions maritimes avec eux  étaient grecques, dans le Dodécanèse et les Cyclades. Cette fois encore, les milles nautiques font rapidement oublier la trépidation francilienne et cette impatience que l’esprit met à vouloir gérer des choses qui n’ont qu’une importance très relative. Nous avons enfin le sentiment étrange, presque illégitime, d’avoir la chance de goûter un peu à leur nouvelle vie, comme des oiseaux de passage, qui d’un coup d’aile d’avion, repartiront bientôt vers leur pseudo-confort urbain. Nous sommes de passage sur Yara, comme des explorateurs sur une autre planète.

Quel bonheur d’avoir découvert avec eux les îles fluorescentes des Bahamas, toutes différentes, mais toutes plus lumineuses les unes que les autres, dans des conditions idylliques : l’arrivée magique à Acklins, après une escale à Miami et une nuit à Nassau, la première plongée dans le lagon d’eau turquoise d’Atwood Harbour, les plages de sable si blanc, si fin , le riff de corail, et l’accueil inattendu et tellement adorable d’Erica et Fidel (sans oublier Elvis, fidèle homme d’équipage et pêcheur hors-classe) : Welcome to paradise, l’island timeest vite adopté ! Crooked Island, encore dévastée par Joaquim qui a ravagé l’île en 2015, mais aux habitants paisibles et affables, et les premiers festivals de couleurs des fonds marins ; Long Island, et notre surprenante rencontre avec Patricia et Peter, un couple de Californiens qui, intrigués par notre débarquement en dinghy sur une plage du bout du monde qu’ourlent discrètement une douzaine de bungalows d’un resort,  nous invitent à partager un vin rouge rarissime et éblouissant (Clos de la Tech, 2015) et un excellent chardonnay (Rombauer, 2017) … et leur dîner au restaurant du resort. George Town sera notre unique contact avec une « ville », ce qui permet enfin à Denis et Véro d’avoir leurclearance et d’être en règle aux Bahamas ; ce sont ensuite Black Cay et sa « baie aux cochons », Cave Cay, avant-goût de la découverte le lendemain de la grotte magique de James Bond dans Thunderball, à Stanley Cay ; puis Harvey Cay et Pipe Cayet leurs longs bancs de sable , la réserve deWarderick Wells Cay qui nous offre des promenades extraordinaires sur terre et en mer (raies, tortues, langoustes… et noise-sharks) et enfin Allan Cay et ses iguanes.

Retour à Nassau, c’est l’anniversaire de Denis, et les 60 ans qu’il s’est choisis ressemblent bien au plus bel âge de la vie !

Un immense merci à vous deux, nos amis Denis et Véro, pour ces instants inoubliables.

Jeff et Val


Cc mon Denis et ma Véro

Le soleil la chaleur les baignades et les bons miams du matin semblent bien loin maintenant ds les frimas bourguignons mais bien présents dans ma mémoire ainsi que tous les bons moments passés ensemble

Encore merci pour votre accueil et votre bienveillance

Quelle belle aventure !

Bizoo Bizoo et bon vent pour la suite

???⛵️


Véronique G

On a passé de merveilleuses vacances: belles rencontres à bord et hors bord❤️…une population Cap Verdienne merveilleuse, réservée, accueillante ❤️

Des paysages nouveaux et variés, des îles différentes,

des route en pavés, taillés et posés à la main ?.. Alors bref mon Denis et ma Vero ❤️, quelle force !.. Un grand merci de nous permettre de partager vos aventures.. On vous suivra au bout du monde ..!

❤️❤️❤️

Serge et Laurence


Et c’est parti pour le « show sur l’eau » sur le YARA à partir du vendredi 19 octobre,18h00.

Après 20 jours calmes sur le catamaran GHIBLI en baie de Dakar, on va faire la traversée jusqu’au Cap Vert, direction l’ile de Sal, sur le YARA.

Et le « show » est particulièrement chaud, car passé l’ile de Gorée au large de Dakar, le bateau se retrouve incliné à 45°, faute à un vent de travers assez conséquent.

Et on ne quittera pas cette position pendant environ 50 heures.Sûrement pas la faute à nos amis Dénis et Véro, rompus à ce genre d’exercice, qui eux aussi ont été bien secoués pendant cette traversée sportive.

Mais comme toujours, leur attention et leur prévenance ont été sans égale vis à vis de nous 2, pauvres terriens !!

Mais pas si pauvres que ça, car le plaisir de naviguer, ou tout simplement d’être avec eux nous a remplis de joie.

Les retrouver dans ces circonstances, après plusieurs mois de leur tour du monde nous a enchantés.

Nous avons pû passer ensemble une semaine au calme du mouillage de Palmeiras, petite bourgade de pêcheurs.Et même si l’ile de Sal n’est pas l’ile la plus originale de l’archipel du Cap Vert, on a pû passer un moment agréable avec nos amis si attentionnés.

Et nous les avons quittés le dimanche 28 octobre, pour les laisser vivre leur aventure que beaucoup envieraient.

Merci à vous deux, Dénis et Véro, pour ces bons moments passés avec vous.Il y en a déjà eu plein et il y en aura bien d’autres, on en est sûr.

Profitez, profitez bien de votre voyage.On vous suit de loin, et on est de tout cœur avec vous.

Bon vent les amis, on vous adore.

Calou et Philippe


Madame ’Gentille’ et Monsieur ‘Cimetière de poulets’ dans le SINE-SALOUM ; (Surnoms donnés par les sénégalais à Marie-Françoise et Jacques ainsi appelés chez les Toubabs).

Des souvenirs :

Le mardi matin Ecully, le soir rencontre au bout de la terre (Djiffer, Sénégal) avec Yara. Grace à une organisation parfaitement maitrisée par Denis et l’aimable convoyage automobile de Annick . Transport brutal de la banlieuebourgeoise européenne à , selon les guides, l’un des village sénégalais les plus sales !

La recherche du passage dans les bancs de sable du Saloum, un œil sur la carte, un œil rivé au sondeur ( 1m, 0,5 ,0,3 !! recule !! 0 !?? il marche ce sondeur ?? ) . Une version sénégalaise de la recherche du passage à travers la Patagonie par Magellan. Avec toutefois une différence notable : une année pour Magellan, une heure pour Denis  et  Véronique,mais la même détermination !

Les mouillages tranquilles au milieu des palétuviers avec les lumières des pécheurs nocturnes en pirogues.

La rencontre à Foudioume de Hassan, homme orchestre,capable de tout vendre ou organiser: poulets (délicieusementcuisinés par Denis), promenades en Calèche ou en Pirogue.

Le rodéo à Dakar entre les camions, dans les nuages émis parles pots d’échappement pour trouver un Taxi.

Les bons repas sortis des abondantes réserves du bateau avec même parfois un petit limoncello !

De façon générale un accueil toujours souriant et attentionné de Véronique et Denis.


Omran (De Lanzarote à Fuerteventura)

Ce séjour fût orné de la découverte de paysages resplendissants, mais également de plages de surf toutes plus incroyables les unes que les autres.

En premier lieu j’ai tout bonnement été subjugué par les quelques jours au

mouillage de Papagayo, constitués d’une randonnée avec Lorris à piloter des Fatbike au pied des montagnes dans un décor désertique afin de se rendre jusqu’à une falaise surplombant la crique où le bateau était ancré.

Et également à mon initiation au surf sur les plages de Lanzarote.

Enfin, rien de tel que de voir ce paysage s’effacer à la venue d’un ciel étoilé

dominant cette nuit où l’on plonge dans un profond sommeil bercé par le balancement du bateau.

Enfin, l’arrivée du dernier équipier Nicolas a enclenché notre traversée (cap

Fuerteventura!), celle-ci a révélé l’état d’esprit de camaraderie qui règne à bord tout au log de notre aventure.

Je salue et remercie cette équipe Véro, Denis, Lorris et Nicolas pour ce voyage aux Canaries à bord De Yara.


Lorris (De Graciosa à Fuerteventura)

On a attendu ça depuis longtemps… enfin débarrassé des vieux ! Et c’est quand ils ne sont plus là qu’on se rend compte qu’il nous manque et quel point nous tenons à eux ; j’ai donc décidé de les retrouver à bord de leur fameux 1 mat ! Yara  au tour des Canaries.

Et quelle surprise !!

Pour notre première retrouvaille, après un avion, un bus une voiture, un bateau un taxi, un autre bateau et un taxi brousse… enfin arrivé au mouillage de Graciosa, la nuit tombante, l’émotion bat son plein… quel bonheur de revoir les deux personnes les plus heureuses que je connaisse! Denis et Véro, bien sûr à l’apéro sans surprise Ō

Tout de suite pris par leur univers de liberté et de détente on se laisse embarquer par le rhytme du bateau et de l’Atlantique! qui est assez simple à décrire finalement :
Réveil, Baignade, Miam  (plutôt choco pour moi, baignade, sieste, baignade, douche, apéro, resto, tarot!)

Ah! enfin les vacances : on peut passer aux choses sérieuses!

Un peu de voile autour de Lanzarote, un peu de port, du surf, du soleil,des balades accompagnées par Odile et Jean-Marie (clin d’œil !) et Omran.

Notre aventurier australien n’avait pas envie de rentrer tout de suite en France. Il a fait un détour sur Yara.

Quelle belle équipe!

En attendant Nico, un moussaillon de plus! surement le plus drôle… nous nouss laissons vivre dans le paradis de PapaGayo (eaux turqoises, calme plat, désert et quelques nudistes (mdr!)

L’équipe est enfin au complet pour visiter Fuerteventura avec un programme chargé ! Surf, balade, apéro, fiesta et fou rire.

Mes meilleurs amis, mes parents que demander plus!

merci à eux!

Yara est entre de bonnes mains!, le rêve existe, merci de nous le partager!

Je suis extrêmement fier de vous voir réaliser votre rêve

Nous nous retrouverons de l’autre côté! (de l’Atlantique bien sûr)

  1. Je vous aime votre fils Lorris (♥♥)

PS :Tout comme Denis, Nicolas ne reconnait jamais la marque d’un moteur ah ah!!
Nue vé

Odile et Jean-Marc (de Porto Santo aux Canaries)

Le sujet philosophique de notre voyage : L’homme nait-il BON ?
Nous finirons notre voyage sans obtenir une unanimité de réponse mais nous sommes surs que Véro et Denis sont nés BONS et qu’ils le restent. 
La GÉNÉROSITÉ nous semble être le fil conducteur de leur voyage.


G
       Gilbert, qui partage, pendant notre séjour, le voyage de YARA avec Anne et son chien Trisk’aile sur PAT. Nous avons renommé PAT ‘Bricobateau’, mieux achalandé que de tous les ships du coin

      Effort incommensurable de Denis pour regarder avec nous (pendant 30’) la finale de la coupe du monde de football le 15 Juillet

N       Notable, le bain de siège, pas vraiment prévu, de Véro dans ‘LA LEVADA, construite par un maure au 19ème siècle’

E       Exceptionnel tout ce qu’on trouve sur YARA : une machine à moudre, une machine à coudre (pour faire le petit manteau de la trinquette) , un pèse valise ( mais pas de balance de cuisine, on fait au pif ), une chaise de camping, un tabouret pour que tous les invités à bord de YAYA puissent s’asseoir

R       Rafael, nom d’usage John’attend, responsable de la marina de Funchal et bon ami de Denis. On trouve de tout sur YARA, même un tee-shirt de taille S qui a permis de donner du rechange à Guilhem, fils de Rafael, lorsqu’il est tombé à l’eau entre le bateau et le catway

O       Oiseaux, Puffins et Pétrels qui ont élus domicile aux iles sauvages que nous avons eu la chance de découvrir pendant la traversée de Madère aux Canaries

S       Sérénité des 2 capitaines. Même dans les mouillages un peu compliqués, ils gardent leurs flegmes, leurs sourires et surtout les bons réflexes.

I        Initiation au scooter à Porto Santo pour visiter les belles plages de sable blanc

T       Ténacité de Denis à préférer l’eau gazeuse aux superbes caïpirinha ou sangria que nous avons dégustées pendant notre séjour

E       Équipiers que nous avons été pendant 1 mois sur YARA. Que du bonheur et de la bonne humeur