Lanzarote de lave et de feu

Pour décrire cette île qui nous a enchantée, une fois n’est pas coutume si nous le faisions en chanson !. clin d’Œil spécial à nos amis Odile et Jean Marc qui nous ont quittés « yesterday »et avec qui nous avions mis au point un petit jeu musical fort réjouissant …

Pour cela, sur la très célèbre musique des » eaux de Mars » magnifiquement interprétée par Georges Moustaki , nous vous proposons notre vision de Lanzarote .

Vous l’avez bien dans l’oreille ? c’est parti !

 » Une plage, un récif, un rouleau qui déferle.
C’est un brin le désert, Le monde à l’origine.
C’est un morceau de lave ,c’est le feu, la poussière,
C’est un volcan qui dort, c’est l’enfer entrouvert.

Une fleur dans le sable, les cactus patients                    ,
C’est la vigne qui surgit, c’est le vin Rubicon,
C’est le lézard qui fuit, c’est la terre qui fond,
Le mystère profond, la promesse de pluie .            

C’est le souffle du vent au sommet des volcans,
C’est une maison blanche, une place et le temps,
C’est un puffin qui crie, le ciel qui s’éclaircit.
Des couleurs d’allégresse, c’est l’île de Lanzarote

C’est Manrique qui sculpte,  harmonieux et agile.
C’est le fer qui se tord,  c’est la main qui dessine,
C’est le bord de la terre, la falaise qui se dresse.
C’est un brin le désert, le monde à l’origine.

C’est un dauphin en l’air, une baleine qui passe,
Les rochers qu’on aligne,  un abri en eaux claires.
Un palmier, une ombre, c’est la chaleur qui vient,
C’est une vision fragile, qui résume le tout.

Une plage ,une grève, c’est un peu l’éphémère,
C’est tout ce dont on rêve, c’est ce qui nous advient .
C’est de l’or, c’est un soir le bout du quai.
Un rhum citronné, un seul jour finissant .

C’est la couleur de l’eau, un lac ensommeillé, des salines dressées.
C’est du vent,
C’est du vent

Une empreinte, Un souffle, Un cachalot qui sonde,
C’est un voilier qui file ,c ‘est la mer démontée.
C’est la saison volage et ses nuées fugaces.
C’est l’île Lanzarote , une promesse de pluie.

Un creux, un cep, c’est le vin c’est la vigne,
Un scorpion qui lambine, une peur sur le front.
Une plage , un récif, un rouleau qui déferle,
C’est un brin le désert , le monde à l’origine

C’est le diable qui passe, le début d’une     histoire,
C’est les gens qui la font,
C’est la terre Lanzarote,  la promesse de       pluie.

Le monde à l’origine,

C’est l’île de Lanzarote , dans nos cœurs pour de bon. « 

paroles de Véro

Échauffement :

Sans consentement (enregistrement sous le paréo)